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Comment l’État belge incite vos enfants de 9 ans à s’épanouir sexuellement

Il y a de cela exactement un an je décryptais dans cet article les tenants et aboutissants du marxisme culturel occidental ainsi que la dérive délirante de l’État belge vers ces inclinaisons fort peu recommandables ; j’incite mes lecteurs à en prendre connaissance si ce n’est pas déjà fait car vous comprendrez l’entièreté de la généalogie du marxisme culturel et son imprégnation en Occident.

Figurez-vous mes chers compatriotes réactionnaires et criminels de guerre ─ car à ce rythme, visiter BelgicaNews équivaudra bientôt à un aller simple en prison ─ que les structures moribondes et à l’agonie de notre cher pays ont franchi une nouvelle étape vers l’inclusivité et la déconstruction du genre pour les gosses : ça s’appelle l’EVRAS.

Soutenue par la Wallonie et la Commission Communautaire Française (COCOF), cette initiative entend informer et sensibiliser les enfants de la maternelle au secondaire sur le corps, les relations affectives et la sexualité, avec bienveillance est-il préciser.

L’amour enseigné avec bienveillance en faisant l’éloge de la pédophilie par le journal Libération dans les années 70

La publication qui a récemment suscité la polémique est une page du dernier manuel produit par l’EVRAS dont l’objectif est d’aider des professionnels de l’éducation à gérer l’éducation sexuelle des enfants de neuf à onze ans ; voici ce qu’on peut trouver dans ce torchon pondu par d’ignobles ordures cosmopolites :

Devant la levée de boucliers qui a suivi cette publication, la ministre de l’éducation de la fédération Wallonie-Bruxelles Caroline Désir ─ dont le sourire macabre et gênant n’est pas sans rappeler celui de Harold Hide The Pain ─ s’est empressée de rassurer le tout-venant ; elle assure qu’en aucun cas l’EVRAS ne ferait l’apologie de la pédophilie. Cette déclaration est une démonstration évidente de chutzpah à laquelle les intervenants, politiciens et escrocs en tous genres du parti socialiste nous ont habitués ces dernières décennies.

Je vous invite à écouter la défense de la ministre disponible ici sur le site de RTL. Sa défense est puérile et faiblarde ─ du jargon politicard à l’état brut qui ne convaincra que les bas QI dysgéniques des quartiers défavorisés de Liège. Caroline n’est d’ailleurs probablement pas suffisamment intelligente pour comprendre la pièce d’un puzzle à six dimensions qu’elle est grassement rémunérée pour mettre en place.

Depuis 2012, l’éducation sexuelle des enfants est une mission obligatoire de l’enseignement mais jusqu’alors il n’existait pas de centralisation des acteurs sensés dispenser cette éducation. Ce flottement permettait une fluctuation en terme de pédagogie en fonction des sensibilités de chacun, mais cette liberté semble désormais insupportable pour l’État belge qui n’a visiblement qu’une hâte : apprendre à vos gosses de neuf ans qu’envoyer des nudes anonymement sur internet est une source de plaisir indicible.

Interrogée par le Figaro, la pédopsychiatre Sophie Dechêne s’est exprimée en ces termes :

« Beaucoup de conseils qui y sont proposés sont inappropriés pour les enfants de la tranche d’âge ciblée. En réalité, notre devoir est de protéger les enfants de l’hypersexualisation de ce rapport adulte à la sexualité , tandis qu’ici l’idée qui prime est celle d’une autodétermination : c’est à l’enfant de poser des questions sur ce qu’il souhaite, et les adultes sont tenus d’y répondre crument directement. Il n’y a plus d’interdits, plus de limites à poser, il faut seulement répondre mécaniquement à la curiosité des enfants. Selon moi, c’est tout l’inverse de ce que devrait être l’éducation, qui doit imposer un cadre adulte, cadre qui va lui permettre de grandir en toute sécurité, et notamment lui permettre de passer du principe de plaisir au principe de réalité »

Sophie Dechêne n’a lu ni Freud ni Hervé Ryssen. Elle n’a pas compris l’objectif sous-jacent des trente associations qui ont travaillé aux côté du Planning Familial à la rédaction de cette infâme bouillie pédodégueulasse qui incite les enfants à s’interroger sur :

« comment favoriser le sentiment de bien-être par rapport à sa propre identité de genre : adopter une démarche différente (ou pas), changer sa façon de s’habiller (ou pas), prendre des hormones (ou pas), recourir à des opérations chirurgicales (ou pas)… »

Des questions que tout enfant sain d’esprit de neuf ans est censé se poser, n’est-ce pas ?

Alfred Kinsey serait fier de ses disciples qui s’occupent aujourd’hui de l’éducation sexuelle de vos enfants.

Source : Figaro

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