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Messianisme égalitariste : une rue bruxelloise baptisée en l’honneur d’une catin nigériane

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Eunice Osayande, philosophe classiciste aristotélicienne adepte de l’école péripatétique, appelée travailleuse du sexe par les post modernes suprémacistes féministes, ou bien qualifiée de pute par les gens normaux, a été sauvagement assassinée le 4 juin 2018 dans la rue Linné à Bruxelles par son client.
Les meurtres sont fréquents et on apprend à s’en foutre au fil du temps. Sauf qu’ici le meurtre n’est pas un simple meurtre, il s’agit en réalité d’un féminicide : c’est à dire un meurtre, mais un meurtre d’une femme par un homme, le seul type de meurtre important aux yeux de la clique de bonnes femmes défoncées au pouvoir qui tiennent les rênes de la civilisation en pleurant au patriarcat.

Voici les faits : Eunice, habitante du Nigéria, se fait embobiner par une association de trafiquants d’êtres humains et se lance dans le pèlerinage migratoire qui la conduira en Belgique, Eldorado de tous les êtres humains et mi humains de la planète, je le rappelle. Eunice est ensuite contrainte à se prostituer, ou à devenir entrepreneuse indépendante de son entreprise de contraction de prostate ou autres muscles périnéaux, pour utiliser des mots qui ne choquent pas ! Eunice est en effet masseuse professionnelle de pénis et il serait dégradant de l’appeler autrement que travailleuse du sexe, sinon comment pourrait-elle voter pour le parti du travail de Belgique ?
Nous pouvons malheureusement constater qu’il n’est pas rare que les Africains quittent leur magnifique continent après avoir été alléchés par des mensonges purs et simples. “Promesse d’un avenir radieux en Europe“, pour finalement échouer dans la précarité et la misère. En effet, nous sommes nous aussi affligés par le chômage et les merveilles de la mondialisation.

Suite à un différend lors d’une passe, Eunice est poignardée par son client mineur dont le nom est bien évidemment tu par les collègues des grands média. Le mineur a été arrêté et placé en IPPJ (institution publique de protection de la jeunesse) pour je cite : “une durée de minimum trois mois.”
On pourrait être choqué par la sévérité de cette condamnation impitoyable, mais je tiens à rappeler que le knife play est un kink (une déviance sexuelle) qui existe et qui est assez répandu. En effet, les aficionados de cette discipline ressentent une jouissance démesurée lorsqu’ils se coupent à l’aide de beaux couteux bien aiguisés. J’invite alors le (ou la) juge du jeune homme à reconsidérer un incident de knife play tout à fait banal et à réduire sa peine à un jour de travaux d’intérêt général.
(Je rajoute que le dernier article de BX1 dit qu’il n’a pas encore été jugé)

Ces gens existent.

Trois ans après les faits et par souci d’égalitarisme, la ville de Bruxelles décide de nommer une future rue du nom de la victime.

La Ville de Bruxelles travaille depuis quelque temps déjà à féminiser les noms de rues bruxelloises. Jusqu’à présent, nous avons toujours choisi des femmes aux réalisations exceptionnelles – mais souvent oubliées. Mais le féminisme pour moi ne concerne pas seulement les femmes qui « excellent ». Le féminisme concerne toutes les femmes et inclut les droits et les luttes des femmes à tous les niveaux sociaux

Tout féminiser ne suffit pas, faut maintenant tout féminiser avec des femmes médiocres. Les mauvaises langues diront que la rareté des femmes aux réalisations exceptionnelles explique cette habile manipulation, mais je ne mange pas de ce pain là ! Si vous êtes une femme et que vous vous acharnez à chercher un remède au cancer du poumon à petites cellules pour être reconnue, laissez tomber ! Essayez de vous rouler à poil dans une piscine sur twitch, vous deviendrez millionnaire et puis allez sucer des queues sous les ponts comme ça vous pourrez aussi passer à la télé.
C’est l’aboutissement de l’idéologie égalitariste : ériger en objet de culte les pires grosses merdes imaginables, aujourd’hui le nom des rues, demain la canonisation et après demain des statues en or ornementées de pierres précieuses. Ma soeur va peut-être enfin pouvoir être reconnue à sa juste valeur !
Plus on est gros, plus on est moche, plus on est attardé, handicapé ou pédophile (l’opposé de l’homme blanc fier et en bonne santé en somme), plus on est idéal pour régner sur l’empire mondial du gauchisme.
Qu’est-ce qui les empêche à présent de nommer une rue du nom du meurtrier ? Peut-être simplement le fait qu’il est un homme.
Il est d’ailleurs assez étonnant de constater que dans leur vision des choses, le fait d’être une femme est considéré similaire aux pires tares possibles de l’humanité. Etonnant. Si j’étais une femme je serais un peu vexé. C’est vrai non ? Il faut arrêter de nommer les rues avec les noms de grands hommes, fini les rues Jules César, il faut donner des noms de gros handicapés qui bavent à la place, commençons par des noms de femmes !
Odieux !

Les travailleuses du sexe bruxelloises qui rendent hommage à Eunice.

Voici une image terrible du reportage de BX1 sur la commémoration des camarades d’Eunice en l’honneur de sa mémoire.
Cette image me donne envie de revenir à Nietzsche qui s’exprime ainsi dans la généalogie de la morale :

Tout animal, y compris la bête philosophe, aspire instinctivement à un optimum de conditions favorables, dans lesquelles il peut déployer toute sa force et atteindre le maximum de son sentiment de puissance.
C’est ainsi que le philosophe repousse avec horreur du mariage et tout ce qui pourrait l’y inciter, – le mariage comme obstacle funeste sur son chemin vers l’optimum. Quel grand philosophe jusqu’ici a été marié ? Héraclite, Platon, Descartes, Spinoza, Leibniz, Kant, Schopenhauer – eux ne l’étaient pas ; et bien plus, on ne saurait même pas se les figurer mariés. Un philosophe marié relève de la comédie.
Tout artiste connaît bien les effets néfastes de l’activité sexuelle dans les états de grande tension et de préparation.
Un certain ascétisme, nous l’avons vu, une absence rigoureuse et sereine du vouloir le meilleur fait partie des conditions favorables à la spiritualité la plus haute.

Si ces personnes sont les femmes de demain et même d’aujourd’hui, alors je pense que la rétention de sperme et le monachisme le plus intransigeant sont à recommander.

Sources : BX1, BX1, BX1, Le soir.

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