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Liège : des travestis apprennent à de jeunes enfants à “déconstruire le genre”

Le projet s’intitule “Unique en son genre” et a été créé en 2018 par deux membres du théâtre de Liège ; Sébastien Hanesse :

et Edith Bertholet :

Le concept : des hommes munis de talons aiguilles et de robes fluorescentes laissant transparaître leurs aisselles mal entretenues lisent des contes à des enfants de 3 à 12 ans dans le but de leur laver le cerveau. Sébastien Hanesse déclare :

L’objectif est de commencer la déconstruction du genre. L’idée est de dire que tout est possible et qu’il faut y aller ou en tout cas y réfléchir car ce qu’on met dans la tête des enfants très tôt reste très longtemps. On essaie d’éviter ça et surtout d’ouvrir. J’ai toujours trouvé important d’expliquer aux enfants qu’il est possible de faire autre chose que ce que la société nous inculque. Selon les codes, les petits garçons doivent porter des shorts et des pantalons et les filles des robes et des colliers. Mais pourquoi ne pas mêler les codes ? La société ne s’en porte pas plus mal au final.”

Il poursuit :

Le projet a déjà bien évolué. Au début on ne savait pas comment le public allait réagir, enfants comme parents. Il s’avère que finalement c’est déjà des parents qui se questionnent sur la déconstruction. Donc maintenant le vrai but c’est d’aller chercher des gens qui ne sont pas du tout dans ce système de déconstruction“.

Le lien entre les milieux transsexuels, homosexuels et pédophiles m’a toujours fasciné.

Daniel Cohn-Bendit, 50 ans de tartuferie - Causeur

Les gens qui aujourd’hui font l’apologie de la fluidité de genre, de la libération sexuelle et de la déconstruction se reposent tous sur les études d’un intellectuel américain, Alfred Kinsey, l’un des pères fondateurs de la théorie du genre. Dans deux ouvrages publiés en 1948 et 1953, Kinsey entend démontrer que la plupart des Américains, hommes et femmes, sont animés de pulsions et fantasmes en marge avec la morale de l’époque : pratique récurrente de l’homosexualité, relations extra-conjugales, avortements, etc.

Ces deux rapports ont eu l’effet d’une bombe et ont entièrement redéfini les codes moraux occidentaux dans le domaine de la sexualité.Le problème, c’est que la théorie de Kinsey ne repose sur rien de tangible dans la mesure où les gens qu’ils a interrogés étaient majoritairement des délinquants sexuels, des prostituées et des homosexuels dans des bars gays.

Quel lien avec la pédophilie ?

L’auteur a étudié la question de la sexualité infantile et défend l’idée que les cris, les convulsions et les mouvements désespérés des jeunes enfants, lorsqu’ils ont des rapports sexuels ─ comprenez : lorsqu’ils sont violés par des pédophiles ─ correspondent à des orgasmes.

Quelques années plus tard et profitant de ce climat de redéfinition de la morale sexuelle, un intellectuel néo-zélandais commence à faire parler de lui : John Money. Dans le courant de l’année 1966, Money est contacté par les époux Reimer, parents de deux jumeaux dont l’un rencontra des problèmes lors de sa circoncision et vît son sexe brûler. Money a alors une idée : prouver que le sexe est une construction sociale. Il prend donc David sous son aile, qui s’appellera désormais Brenda, et incite ses parents à l’élever comme une fille, l’habillant en robe et lui achetant des poupées pour Noël.

Tout se passe bien jusqu’à l’adolescence, lorsque Brenda se rend compte par sa puberté qu’elle est en réalité un homme. Ses parents lui avouent la vérité ; Brenda redevient David, se marie mais finira par se suicider à l’âge adulte. John Money se fiche bien des répercutions : selon lui, ceux qui colportent cette histoire sont des réactionnaires qui veulent prouver que le sexe est une donnée génétique.

Voilà comment est née la théorie du genre.

Nombre d’intellectuels ont élaboré des thèses plus folles les unes que les autres en se reposant intégralement sur les délires de Kinsey et de Money ; dans la sphère intellectuelle française, citons des gens comme Michel Foucault, Gilles Deleuze, Louis Althusser et Simone de Beauvoir qui auront une influence énorme sur les penseur américains, et qui nommeront cette théorie de la déconstruction la French Theory.

Il est intéressant de noter que nombre de ces auteurs de la déconstruction ont signé, le 23 mai 1977, une pétition dans le journal Le Monde demandant que la décriminalisation des rapports sexuels entre adultes et enfants de moins de quinze ans.

C’est à cette époque que le journal Libération et la presse d’extrême-gauche française faisait ouvertement l’apologie de la pédophilie :

Gilles Deleuze ne s’est pas contenté de conceptualiser cette pratique puisqu’il est de notoriété publique qu’il était lui-même un pédophile, comme tant d’autres intellectuels d’extrême-gauche.

Dans un papier paru en 2019, le journal AFA rappelait que les homosexuels, bien qu’ils ne composent que 2% de la population représentent 33% des violeurs pédophiles.

Il est intéressant de constater que plus on gratte, plus on trouve des liens entre extrême-gauche, théorie du genre et pédophilie.

Tirez-en les conclusions que vous voulez.

Source : RTBF

2 réflexions sur “Liège : des travestis apprennent à de jeunes enfants à “déconstruire le genre”

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