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L’État profite de l’affaire Jürgen pour mener des perquisitions chez des opposants politiques

Le plan de la pieuvre mondialiste se met en place.

Que l’affaire Jürgen soit réelle ou pas, il est évident que l’État est en train de l’instrumentaliser afin de :

  1. Parachever la déconstruction de l’armée
  2. Monter en épingle la dangerosité de l’extrême-droite qui n’existe que dans la tête de nos dirigeants
  3. Affirmer sa politique de répression vis-à-vis des patriotes

Piqûre de rappel : souvenez-vous de cet article publié en mars dans lequel je décrivais déjà ce processus de mise au pas des forces armées et de la société civile.

Or, je rappelle qu’à l’heure actuelle, Jürgen Conings n’est coupable d’aucun crime et n’a fait aucune victime. Cette affaire est une non-affaire montée de toute pièce par les médias mainstream en quête de sensationnalisme ─ comment prendre au sérieux des journaux qui appellent le militaire “le Rambo belge” ? ─ et récupérée par l’État afin de lutter contre l’extrême-droite.

Jürgen est vraiment tombé à pic ; une aubaine pour des dirigeants qui cherchaient à créer un cadre légal pour bouter les patriotes hors de la sphère publique. Une chance que le fugitif ait laissé des lettres derrière lui afin d’expliquer aux enquêteurs qu’il avait volé des lance-roquettes pour attaquer la structure de l’État au nom de la doctrine de Mussolini.

Ainsi, durant la nuit de vendredi à samedi, une dizaine de perquisitions ont été menées chez des patriotes ─ entre autres chez Tomas Boutens, ancien militaire condamné à de la prison ferme pour avoir été membre d’un groupe nationaliste flamand.

Quelles seront les prochaines étapes ?

Source : LeSoir

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