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Décryptage : Pfizer augmente le prix de vente de ses vaccins et compte vous faire les poches jusqu’à la moelle

Je me demande vraiment QUI décide de l’augmentation des prix.

Le quotidien britannique Financial Times a révélé dimanche que l’entreprise Pfizer avait récemment décidé d’augmenter le prix de vente de ses vaccins, passant de 15,5 euros à 19,5 euros, et celui de Moderna de 19 euros à 21,5 euros.

À titre de comparaison, le coût du vaccin AztraZeneca est de… 2 euros.

Le microbiologiste pro-vaccins Emmanuel André est fou de rage suite à cette annonce :

Les patrons des géants pharmaceutiques auto-proclamés philanthropes feraient mieux de freiner la cadence car leur appétence pour les billets verts va finir par se voir, même de la part des Golems qui obéissent à toutes les règles des gouvernements occidentaux depuis un an et demi.

La DH précise :

Fin juillet, le laboratoire Pfizer prévoyait d’écouler cette année pour 33,5 milliards de dollars (28,23 milliards d’euros) de vaccins contre le Covid-19, soit bien plus que les 26 milliards de dollars (21,91 milliards d’euros) sur lesquels le groupe tablait deux mois plus tôt. Moderna, tablait, en mai, sur des ventes annuelles de 19,5 milliards de dollars (16,43 milliards d’euros).

Ces chiffres sont largement minimisés car ils ne prennent pas en considération les multiples doses que la population devra s’injecter régulièrement dans les veines. En accordant votre confiance à Pfizer, vous achetez un système immunitaire sous forme d’abonnement qu’il faudra mettre à jour avec l’apparition de chaque variant, et ça commence déjà :

Tout ça pour un virus qui ne tue pas.

Et un vaccin qui n’est pas efficace face à l’inéluctable apparition de variants.

Mais nous pouvons avoir confiance en Saint-Pfizer.

Conclusion : les États occidentaux achètent pour des milliards d’euros de doses de vaccins qui vont reprogrammer intégralement le système immunitaire des populations pour faire face à un virus qui ne tue que les vieux, les malades et les obèses.

La seule solution de bon sens consisterait pourtant à laisser le virus circuler au sein de la population, laisser les éléments les plus faibles disparaître et traiter les gens à l’aide d’ivermectine et d’hydroxycloroquine, comme le préconise le professeur Christian Perronne.

Mais ce plan serait beaucoup moins rentable pour les géants pharmaceutiques que sont Pfizer et Moderna. Quant aux États, ils ont plongé à pieds joints dans un engrenage si pervers et si complexe qu’il leur est désormais impossible de faire machine arrière. Ils iront jusqu’au bout dans le processus de piqûre systématique.

Source : DH

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